* Appelation : Côtes de Provence
* Couleur : Rosé
* Domaine : César Brezillou
* Millésime : 2004
* Occasion : Restaurant Paris
* Avec : Des bonnes choses
Le vin, ce n'est pas uniquement une bouteille, une couleur, un gout... C'est aussi - et surtout pour moi - un moment, un instant. Une ambiance, un plat qu'on partage. Des gens avec qui on se sent bien, ou moins bien. En tous cas, derrière l'etiquette, des souvenirs.
Ceux de ce Côtes de Provence sont bien originales. Pas de mer méditérannéenne ni d'oliviers pour tableau. Non, simplement un restaurant typiquement parisien. Dehors, la pluie, qui mouille la nuit parisienne. Une rue comme il y en a des milliers à Paris... et au loin, sans doute, une station de Métro. Nous sommes mouillés, et comme nous n'avons pas mangé à midi et beaucoup marché sous la pluie, nous avons un petit peu faim. Surtout, nous sommes épuisés, mais ravi d'un weekend superbe. Et pour le finir, un petit "bouiboui" typiquement parisien, avec des plats bien français. Mon amie prend une salade de gésier avec fromage, et moi un rizotto de saumon. Aprés, elle prend une truite, et moi du poulet au curry. Et c'est simple, mais c'est bon.
Derrière moi, une photo d'une vieille actrice que je ne connais pas nous regarde. En noir et blanc bien sur : nous sommes à Paris, et on se croirait dans un film des années 70'...
Et le vin dans tout ça ? Ben j'ai envie de dire que, sur ce coup là, honnêtement... C'est évident qu'un mauvais vin n'aurait pas gaché la soirée, mais l'aurait rendu moins agréable. Ce vin allait finalement assez bien avec l'ambiance. J'aurais pu prendre un Beaujolais, ou un vin trés "terroir". Mais ce rosé, assez corsé malgré une couleur claire, était agréable. Il piquait les papilles, sans les agresser. Avec les olives en apéritif, ou avec le saumon ou le poulet, j'ai trouvé qu'il était bien sympa. Bon, j'en parlerai pas des heures car finalement, un Côte de Provence bu en fin de weekend pluvieux à Paris, le portait est assez iconoclaste.
Enfin, dans le vin, ce qui compte, c'est le plaisir. Disons que cette fois ci, le plaisir l'aura largement emporté sur le vin lui même. Ben c'est pas désagréable je trouve.
Ceux de ce Côtes de Provence sont bien originales. Pas de mer méditérannéenne ni d'oliviers pour tableau. Non, simplement un restaurant typiquement parisien. Dehors, la pluie, qui mouille la nuit parisienne. Une rue comme il y en a des milliers à Paris... et au loin, sans doute, une station de Métro. Nous sommes mouillés, et comme nous n'avons pas mangé à midi et beaucoup marché sous la pluie, nous avons un petit peu faim. Surtout, nous sommes épuisés, mais ravi d'un weekend superbe. Et pour le finir, un petit "bouiboui" typiquement parisien, avec des plats bien français. Mon amie prend une salade de gésier avec fromage, et moi un rizotto de saumon. Aprés, elle prend une truite, et moi du poulet au curry. Et c'est simple, mais c'est bon.
Derrière moi, une photo d'une vieille actrice que je ne connais pas nous regarde. En noir et blanc bien sur : nous sommes à Paris, et on se croirait dans un film des années 70'...
Et le vin dans tout ça ? Ben j'ai envie de dire que, sur ce coup là, honnêtement... C'est évident qu'un mauvais vin n'aurait pas gaché la soirée, mais l'aurait rendu moins agréable. Ce vin allait finalement assez bien avec l'ambiance. J'aurais pu prendre un Beaujolais, ou un vin trés "terroir". Mais ce rosé, assez corsé malgré une couleur claire, était agréable. Il piquait les papilles, sans les agresser. Avec les olives en apéritif, ou avec le saumon ou le poulet, j'ai trouvé qu'il était bien sympa. Bon, j'en parlerai pas des heures car finalement, un Côte de Provence bu en fin de weekend pluvieux à Paris, le portait est assez iconoclaste.
Enfin, dans le vin, ce qui compte, c'est le plaisir. Disons que cette fois ci, le plaisir l'aura largement emporté sur le vin lui même. Ben c'est pas désagréable je trouve.
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