* Appelation : Séguret (Village)
* Couleur : Rouge
* Domaine : Les Vignerons de Roaix
* Millésime : 2004
* Occasion : Chez mes amis Roquemaurois
* Avec : Tripou Ardéchois
Cela va être mon leitmotiv, une répétition. Mais le vin, c'est un tout, un ensemble. UN weekend où ma petite amie me laisse (la vilaine), et où je me fais recueillir chez mes amis Roquemaurois. Une table qui est presque la mienne, où je me sens bien et heureux. Autour, ce grand gaillard moustachu qui était mon candidat et reste mon ami. Sa femme, une dame charmante, adorable, intelligente et attentionnée. Et sa fille, que j'adore vraiment beaucoup. Et le chien n'est pas loin, un petit chien de chasse mignon comme tout. Et nous sommes là, avec le repas qui cuit, et une bouteille de Séguret qu'on débouche. Un samedi soir tranquille et ordinaire, où on vous reçoit en pyjama, tranquillement. La vie est simple, mais belle.
Pendant ce temps fume le tripou ardéchois. Un plat typique, et merveilleux. L'entrée, je ne me souviens plus trés bien. Une salade d'andive je crois. Et puis quand arrive le tripou avec les pommes de terres cuites, là on sert le Séguret. Ce vin m'a été offert par mon meilleurs ami lors de ma "crémaillère" sérignanaise. Et ce meilleur ami, en plus, habite le même paré de maison roquemaurois. Et ce vin, alors, que vaut il ? D'abord, je vous signale (rassure ?) tout de même : le tripoux était une merveille de la nature.
Ce Séguret donc ? Ben ce vin est à l'image du Village. Une petite merveille de complexité. Un nez franc et puissant, sans être agressif. Et en bouche, il glisse bien. Ce vin est à l'image des "Côtes du Rhone village". Et pourtant, à la fin du repas, une petite déception que même le fromage ardéchois et le camenbert n'a pas atténué. Pourquoi ais je ouvert cette bouteille maintenant ?
Il "glissait bien en bouche", mais il glissait trop bien. J'aurais apprécié plus de puissance. Je pensais que le tripoux, trop puissant, masquait certains aromes. Et qu'un bon petit vin de pays ardéchois et bien du crû aurait peut être été meilleurs. Mais je n'en suis pas certains. Je pense que ce Séguret aurait trés bien pu faire l'affaire, avec un peu plus de maturité. Là, il était trop tendre.
Pourtant, malgré son inexpérience, il avait de la peche. Il était même trés bon, pour ceux qui apprécient les vins pas trop taniques. Il m'a plu, et il a plu à la table. Mais il reste ce 'mais' dont je suis l'unique fautif.
Au final ? Ben au final, ce vin demeure quand même fantastique. Et il me donne une seule envie. Le reboire, mais plus tard. Il y en a une autre dans ma cave, mais celle là attendra. En tous cas, depuis que je suis passé coté gauche du Rhône, je me régale. Mon ami Sérignanais m'a émerveillé avec les vins de Rochegude. Je pense que je serai un fervent admirateur et défenseur du Rasteau, dont le village est aussi merveilleux que sont ces vins (je ne reparle pas du Domaine des Nymphes... ). Et puis bon, j'étais déjà convaincu des vertues du Cairanne et du Gigondas. Pourtant, il m'en reste encore tant à découvrir...
C'est ça qui est bien dans les vins. Les weekends de printemps me seront agréables je pense.
Pendant ce temps fume le tripou ardéchois. Un plat typique, et merveilleux. L'entrée, je ne me souviens plus trés bien. Une salade d'andive je crois. Et puis quand arrive le tripou avec les pommes de terres cuites, là on sert le Séguret. Ce vin m'a été offert par mon meilleurs ami lors de ma "crémaillère" sérignanaise. Et ce meilleur ami, en plus, habite le même paré de maison roquemaurois. Et ce vin, alors, que vaut il ? D'abord, je vous signale (rassure ?) tout de même : le tripoux était une merveille de la nature.
Ce Séguret donc ? Ben ce vin est à l'image du Village. Une petite merveille de complexité. Un nez franc et puissant, sans être agressif. Et en bouche, il glisse bien. Ce vin est à l'image des "Côtes du Rhone village". Et pourtant, à la fin du repas, une petite déception que même le fromage ardéchois et le camenbert n'a pas atténué. Pourquoi ais je ouvert cette bouteille maintenant ?
Il "glissait bien en bouche", mais il glissait trop bien. J'aurais apprécié plus de puissance. Je pensais que le tripoux, trop puissant, masquait certains aromes. Et qu'un bon petit vin de pays ardéchois et bien du crû aurait peut être été meilleurs. Mais je n'en suis pas certains. Je pense que ce Séguret aurait trés bien pu faire l'affaire, avec un peu plus de maturité. Là, il était trop tendre.
Pourtant, malgré son inexpérience, il avait de la peche. Il était même trés bon, pour ceux qui apprécient les vins pas trop taniques. Il m'a plu, et il a plu à la table. Mais il reste ce 'mais' dont je suis l'unique fautif.
Au final ? Ben au final, ce vin demeure quand même fantastique. Et il me donne une seule envie. Le reboire, mais plus tard. Il y en a une autre dans ma cave, mais celle là attendra. En tous cas, depuis que je suis passé coté gauche du Rhône, je me régale. Mon ami Sérignanais m'a émerveillé avec les vins de Rochegude. Je pense que je serai un fervent admirateur et défenseur du Rasteau, dont le village est aussi merveilleux que sont ces vins (je ne reparle pas du Domaine des Nymphes... ). Et puis bon, j'étais déjà convaincu des vertues du Cairanne et du Gigondas. Pourtant, il m'en reste encore tant à découvrir...
C'est ça qui est bien dans les vins. Les weekends de printemps me seront agréables je pense.
1 commentaire:
C'est bon le Seguret (essai)
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